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Tech’Air conjugue handicap et innovation

Cette entreprise de Villiers-le-Bel emploie 180 salariés dont 150 en situation de handicap. Elle ne cesse d’innover dans la production de dispositifs médicaux mais aussi dans l’accompagnement social de ses collaborateurs.

Tech’Air, structure de VYV 3 Île-de-France (Groupe VYV), casse les clichés dans le domaine du travail des handicapés. A la fois entreprise adaptée (EA) et établissement ou service d’aide par le travail (ESAT), la société porte un projet économique mais aussi humain et social. C’est aussi l’un des plus importants employeurs de Villiers-le-Bel. En première ligne face au coronavirus, l’entreprise s’est trouvée propulsée sur le devant de la scène en produisant capteurs, régulateurs de vide, ventilateurs et autres tests Covid pour des clients aussi prestigieux et fidèles que le géant Air Liquide ou le laboratoire AAZ. Le succès est là. Les visites ministérielles se succèdent.

Tout démarre en 2014 lorsque Henri-Aurélien Chopinaud, reprend la direction de l’ESAT alors en difficulté. « Il fallait lui redonner une raison d’être et un impact sur la société tout en associant les travailleurs. Ils m’ont dit qu’ils voulaient sauver des vies en fabriquant des dispositifs médicaux », raconte ce meneur d’hommes à l’optimisme chevillé au corps. Il fonde Tech’Air. Son gestionnaire d’alors, la fondation hospitalière Sainte Marie, y croit. Elle investit 2 millions d’euros dans la construction de nouvelles salles blanches.  L’Etat et la Région y contribuent aussi. Tech’Air embauche et décolle. La crise sanitaire accélère encore le processus et démontre que handicap peut rimer avec haute technologie et compétences pointues. Bientôt, la société sera la première à produire des autotests 100% français

Mais Henri-Aurélien Chopinaud voit plus loin. Il mise désormais sur le « Care », ce marché du bien-être et du soin aux personnes. Et pourquoi ne pas l’appliquer à ses salariés ?  Baptisée « Bien dans son corps, bien dans sa tête », l’initiative a déjà pris forme avec le quart d’heure du matin avec les collaborateurs, la conciergerie sociale puis le centre intégratif de santé à la fois préventif et curatif. « Je partage la conviction que l’emploi des personnes handicapées fait progresser l’entreprise, et progresser la société tout entière », conclut son fondateur. 

En passant par La Quincaillerie

Dans le village pittoresque de Nesles-la-Vallée, ce restaurant vous propose une escale gourmande au pied du Sausseron, la charmante rivière qui coule dans le Vexin français.

Si, au détour des chemins de randonnée de la vallée de l’Oise ou, après avoir parcouru à vélo les routes pittoresques de la boucle d’Auvers-sur-Oise, vous êtes pris de fringale, arrêtez-vous à la Quincaillerie. Rien à voir avec un commerce pour bricoler mais soyez sûr que votre petite (ou grosse) faim sera parfaitement rassasiée.

En mode brasserie ou gastronomique, ce restaurant fleure bon le terroir.  Le programme est plutôt alléchant. Le gravelax de saumon, mousse de crème au basilic et sa tatin de légumes nouveaux en coqueline invite à goûter le printemps tout autant que l’incontournable épaule d’agneau confite de 7 heures avec sa polenta aux raisins. Si vous êtes sucré, optez donc pour la tarte crousti fondante à l’amande et la bergamote. Quant à votre soif, elle s’épanchera fort bien si les agapes sont arrosées d’un flacon, rouge ou blanc, qui fait la part belle à la jeune création vigneronne.

Plus d'informations

Vous êtes donc attablé à la Quincaillerie, l’établissement tenu par deux amis d’enfance de Nesles-la-Vallée, Christophe Coubriche et Adrien Pecquet. Pour ce duo de trentenaires, l’aventure a commencé en 2017. La mairie leur loue l’ancienne quincaillerie, construite en 1890 par la famille Habert et demeurée ouverte jusqu’en 2002. La mémoire de ce commerce, mitoyen de l’école du village où ils allaient tous deux, s’affiche toujours en devanture.

L’ambiance bistrot – étagère à vins en salle, mobilier moderne et photos naturalistes au mur – fait la popularité de cette table. Côté fourneau, Christophe fait parler sa science de la cuisine, avec des assiettes simples et pleines de charme, qui réinventent le terroir. Adrien – l’ancien ébéniste et Compagnon du Devoir – tient la salle où il sait conseiller la bonne bouteille et gratifier les convives d’un sourire affable.  Laissez-vous gagner par cette belle complicité !

Gagnez un repas pour deux personnes

Faites parvenir, avant le 30 avril 2023, une carte postale avec la mention La Quincaillerie, comportant vos nom, prénom, adresse postale, mail et téléphone à l'adresse suivante: Conseil départemental du Val d’Oise - Direction de la communication - Pôle Editorial Digital Images - 2, avenue du Parc - CS 20201 Cergy -95032 Cergy-Pontoise cedex

Un tirage au sort désignera le/la gagnant(e)

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